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Le Tigre est à vous dans quelques instants...
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Novembre-décembre 2009.
Couleur des rayures de la couverture : violet d’évèque Photographie de couverture : Albin Brassart 104 pages couleur et N&B, dos carré, sans publicité. En kiosques, en librairies, et en vente à l’unité au prix de 6,80 euros. En vente au format électronique (PDF) au prix de 4,50 euros
Le Tigre violet d’évêque évoque quelques bondieuseries, des langues rares, des quartiers de boeuf, des astuces de traders, et lève le voile sur quelques changements à venir.
Au sommaire du volume 34, dernier volume bimestriel du Tigre REPORTAGE : le bla-bla En 2008 naissait le programme « Sorosoro, pour que vivent les langues du monde ! », financé par la Fondation Chirac, « sorosoro » signifiant « langue, souffle » en araki, une langue du Vanuatu n’ayant que huit locuteurs. Un reportage au « point d’étape » qui s’est tenu en octobre 2009 au musée du quai Branly afin de présenter les travaux entamés par Sorosoro, reportage où il est question de langues qui meurent sur fond de chercheurs qui cherchent, et entre autres du nouvel an maya, d’un conte gabonais, de proverbes basques, de Jacques Chirac, du lapin du métro parisien, de gros sous et de multilinguisme. REPORTAGE : l’argent Alors que les bonus des traders font à nouveau parler d’eux dans les médias, Sandor Krasna est parti à la rencontre de l’envers du décor : le trading comme hobby pour des milliers de boursicoteurs, globalement perdants sur leurs transactions. Un reportage au « Quatrième Salon du trading », où le Tao et le taux de testostérone servent de mètre-étalon du trader. PORTFOLIO : l’abandon Ville de Dietlas, Allemagne : une usine de construction de machines minières abandonnée depuis 2005. Albin Brassart a photographié ces vastes pièces vides de toute présence humaine, et pourtant habitées encore d’une présence : des chaises qui semblent attendre, des papiers, des photos froissées sur les murs, et la lumière qui entre encore et toujours. ENTRETIEN : l’abattage Georges Cosson, boucher-charcutier de Nice, décortique avec minutie les gestes du boucher, et raconte comment on écorche, dépouille, équasille, découpe, explicite l’aloyau, l’AVT5, l’ART8, le grumeau, le collier, les boyaux, la panoufle, l’oeillet, le gîte nerveux, la panse, rappelle l’évolution des goûts et met l’eau à la bouche avec les sucs et les saveurs. PORTFOLIO : l’art Thaon-les-Vosges, dans les années 1930. Des « vierges séculières », surnommés les « soeurs Bernadette », mettent au point une méthode de catéchisme basée sur l’usage de dessins au pochoir d’une singulière efficacité visuelle. Jusqu’en 1969, les Bernadette vont lutter en noir et blanc en faveur de la vulgarisation de l’enseignement religieux et « contre l’art matérialiste, cubiste et communiste ». L’INCROYABLE ALMANACH : l’orange Un almanach de Noël, avec des papiers d’orange au graphisme lumineux en guise de cadeaux. Où l’on croise, entre des violettes et un fromage au nom de curé, la pince monseigneur, Bossuet, la recette d’un curieux lapin, une Bible pas très catholique, des oursins, et des considérations sur la chasteté des filles...
+ PORTFOLIO PHOTO par Patrice Normand CHRONIQUES JUDICIAIRES par Juliette Volcler LA CHRONIQUE du dessinateur Killoffer + LES BRÈVES par Éric Chevillard DÉTOURNEMENTS par Walter Lewino L’ÉNIGME POLICIÈRE par Paul Martin
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